eC!

Social top

English

Interview with Jean Piché

Écouter l’enregistrement audio original de l’entrevue :
Listen to the original audio recording of the interview :

Jean Piché est compositeur, vidéaste et professeur à l’Université de Montréal. Sa pratique allie musique et image en mouvement dans une forme hybride maintenant connue sous le vocable de vidéomusique. Il fut dans les années 70s un des pionniers canadiens dans l’exploitation et le développement des outils audionumériques et oeuvre depuis dans tous les genres électroacoustiques. Ses œuvres ont été présentées et récompensées partout dans le monde. Comme enseignant, il a formé depuis la fin des années 1980s plusieurs cohortes de jeunes artistes œuvrant aujourd’hui en art médiatique et en musique. Il développe des logiciels musicaux dont certains, comme Cecilia, sont utilisés par des compositeurs partout dans le monde. Il a concu et développé la suite de logiciels musicaux TamTam pour le projet « One Laptop per Child ». Il dirige présentement l’institut Arts Cultures et Technologies, un important regroupement de chercheurs en arts médiatique à l’Université de Montréal.

Jean Piché is a composer, video artist and professor at the Université de Montréal. His creative output over the past 25 years has explored the more exotic edges of high technologies applied to music and moving images, including videomusic, live electronics, fixed electronic media and performance. He has received numerous international awards and his work has been presented in Europe, Asia and North America. Since the early 1990s he directs and produces his own video work, focusing on parallel compositional strategies for abstracted visuals and music, a new hybrid form he has helped define. He is involved with software design notably with the program Cecilia and the TamTam suite on the celebrated One Laptop per Child computer. He presently directs the institut Arts, Cultures et Technologies (iACT), a major new media research collective at the Université de Montréal.

http://jeanpiche.com

Social bottom